Amélie Gauthier
Commerciale Individuel BtoB (secteur Atlantique) FRAM
31 ans
Permis de conduire
Bordeaux France
Situation professionnelle
En poste
Ouverte aux opportunités
Présentation
Diplômée d'un MBA Management du tourisme et des services, j'ai acquis pendant mes cinq années d'étude des savoirs et competences liés au secteur touristique.
Ma formation théorique et mon expérience professionnelle m’ont appris à créer, promouvoir et commercialiser des services et produits dans les secteurs du tourisme et des loisirs.
Persévérante, passionnée, consciencieuse et à l’écoute, je m'adapte facilement aux nouveaux environnements de travail.
Ma formation théorique et mon expérience professionnelle m’ont appris à créer, promouvoir et commercialiser des services et produits dans les secteurs du tourisme et des loisirs.
Persévérante, passionnée, consciencieuse et à l’écoute, je m'adapte facilement aux nouveaux environnements de travail.
Mission Humanitaire à Madagascar
Association La Marmaille à la Case
Janvier 2013
à mars 2013
Bénévolat
Manompana
Madagascar
- Enseigner le français aux enfants et animer des activités scolaires.
Détails de l'expérience
- Cette mission humacité fut avant tout un choc émotionnel. Les relations humaines simples, sincères furent très enrichissantes. Nos certitudes, nos vérités, notre mode de vie occidentale n’avait pas lieu de s’imposer ici. De toute façon les moyens matériels ne le permettaient pas.
Nous n’avons pas appris à gérer un hôtel, un centre de loisirs… mais à mener une action éducative auprès d’enfants du tiers monde très réceptifs.
Ces deux mois de stage au confort précaire m’ont montré une autre réalité. On peut vivre heureux en manquant de presque tout. Quelle leçon de vie !
Le bonheur offert par le mode de vie occidental n’est pas universel. Et pourtant, la vie avec plus ou moins de bonheur existe à nos frontières.
Ce séjour recadre nos certitudes. Les priorités sont différentes selon les sociétés. Nos exigences de vies : bon salaire, belle maison, loisirs variés, enfants rois… sont ici futiles, voire inconnues. Nos sociétés de consommation entraînent un gaspillage, une pollution qui abîme la nature. Peut-on imposer un tel système pour aider les plus pauvres ? Bien sûr que non ; il faut éviter qu’ils commettent les même erreurs tout en approchant le caractère agréable de notre mode de vie. Avec notre expérience, nos techniques, notre argent ; il faut les aider à être autonome, à vivre au mieux en protégeant la nature. Connaître les inégalités, la pauvreté est une chose ; mais la vivre au quotidien en est une autre !
Nous ne prétendons pas avoir « sauvé » ces enfants. Mais notre petite aide, sincère désintéressée fut très appréciée. Maintenant je saurais modérer mes plaintes et mon gaspillage.
Jamais je n’oublierais le sourire de ces enfants rayonnant de bonheur grâce au peu que nous leur apportions. Les adieux furent difficiles et larmoyants.
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